vendredi 17 mai 2013

Vous avez dit syndrome de la page blanche ?


 Chaque semaine vient le moment fatidique où Ourania et moi nous demandons quels vont être les sujets de nos articles pour la semaine suivante. Parfois, un thème nous vient spontanément, comme une évidence. D’autre fois, c’est plus « compliqué », on se pose des questions, on hésite. Et souvent, nous changeons d’avis en cours de route et arrivons à notre réunion hebdomadaire avec un sujet totalement différent de ce qui était prévu, où nous lisons l’article de l’autre à la recherche d’éventuelles fautes d’orthographe ou/et de mots manquants (oui, parce que j’oublie beaucoup de mots quand j’écris et vu que je ne me relis pas toujours… Oui, je sais, c’est mal de ne pas se relire. Pour me punir, j’irai visionner l’intégrale de Twilight) (Je suis quand même très stricte avec moi, je trouve.).
 Cette semaine est une de celle où je ne sais pas trop. Quelques idées me sont venues en tête, mais je les conserve précieusement pour alimenter notre dossier thématique Ces choses qu’on aime mais dont on a honte (1ère partie par ici). Et je préfère vous le dire tout de suite, ce ne sera pas glorieux.


 Je pourrais écrire à propos de ma haine (non, le mot n’est pas trop fort) envers Twilight et démonter les bouquins point par point. Livres que, bien évidemment, j’ai lus ; je ne critique pas sans savoir ! Mais pourquoi écrire sur quelque chose que je n’aime pas ?
 En cette fin d’année « sériesque », il aurait été judicieux de vous dire qu’elles vont être les nouveautés de la rentrée ou les séries qui arrivent sur leurs fins. Mais les chaines américaines n’ont pas encore toutes annoncé leurs programmes, j’attends donc encore un peu pour vous faire ça (et ce sera fait. PROMIS !) Il y a des programmations que j’attends avec impatience, d’autres qui me tentent mais me laissent perplexes en même temps. Je vous détaillerai tout ça.
 Ou alors, j’aurais pu vous avouer que je n’ai jamais vu aucun James Bond, ni aucun Indiana Jones (oui, vous pouvez être choqués, j’ai l’habitude !). Mais que par contre, j’ai vu pas mal de films totalement inconnus du grand public et que du coup, ben je ne peux en parler avec personne (j’ai le même problème avec la musique).
 J’ai aussi pensé vous parler de comment une partie de ma vie a été ruinée (enfin, juste ces derniers mois, en fait, mais il faut bien que j’en rajoute un peu) et mes illusions détruites par un ami samedi soir dernier. Mais il aurait fallu remonter trop loin, expliquer d’où vient toute l’histoire et honnêtement, je n’ai pas envie d’avoir d’ennuis avec le corps médical (celui spécialisé en psychiatrie, je veux dire). Ou encore j’aurais pu vous dire comment j’ai lamentablement perdu au Trivial Pursuit pendant cette même soirée. Même si c’est assez évident : je n’ai pas su répondre aux questions (pas de quoi en faire un article, donc) (mais je m’en fiche, j’ai mangé des bonbons pour me consoler !).

On aurait eu cette version, j'aurais peut-être gagné...

 Ou vous expliquer pourquoi j’aime user et abuser des parenthèses. Mais je me suis dit que l’intérêt d’un tel article était plus que limité.
 Ou alors, je peux vous écrire un article où je vous explique que, parfois, je ne sais pas sur quoi écrire. Ah ben ça y est, c’est fait.

Tháleia

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